http://minuit.cowblog.fr.CowblogfrMon, 03 Jan 2011 16:21:46 +0100180http://minuit.cowblog.fr/03-01-2011-3074673.html
ma tombe * Fatigue, quand tu nous tiens.]]>Tue, 04 Jan 2011 18:15:58 +0100http://minuit.cowblog.fr/03-01-2011-3074673.htmlhttp://minuit.cowblog.fr/03-01-2011-3074673.html
"Je vous l'avez bien dit que j'étais malade" "Je n'ai jamais été là." Ce sont sans doute les épitaphes qui illustreront ma doute à la suite de ma mort. Un suicide légalisé? Ah Ah. C'est déjà fait. Fume. Boit. Etc. Bon courage pour la suite :)]]>Tue, 04 Jan 2011 18:15:35 +0100http://minuit.cowblog.fr/03-01-2011-3074673.htmlhttp://minuit.cowblog.fr/gla-flaubert-persona-3016597.html
Flaubert n'a jamais fait dans le réalisme ou dans la lucidité. Jamais. Il ne fait que pointer ironiquement les épaves et les rêves. Il semble avoir voulu cautériser son cancer lyrique, mater les excès romantiques ridicules, sans jamais les faire vraiment disparaître. Comme une vivante cicatrice qui lézarde ce roman carthaginois aux allures de "tronçons de serpents". Salammbô est tout ce que l'on veut, sauf un roman historique. L'héroïne n'a aucune consistance métaphysique, (contrairement à de la Bovary), elle est vibrante et pure comme le feu de ses gemmes. Carthago delenda est, Gustave annule jusqu'à la matérialité historique du décors et libère son écriture d'orfèvre... Flaubert établit un cadre romanesque sans assise ni conscience, un vrai royaume flottant, plein d'orages et d'égarements. L'Histoire est le prétexte (voire le sous-texte) d'un lyrisme violent et d'une intensité rare; on perçoit seulement une vraie ivresse d'écriture (qui n'exclut pas une certaine retenue je suis d'accord avec toi). Quoi qu'il en soit, l'Histoire n'a rien à y voir. C'est juste un moment de grâce. J'apprécie ta manière d'écrire, je reviendrai. =) A bientôt j'espère, Elsa]]>Thu, 08 Jul 2010 13:30:08 +0200http://minuit.cowblog.fr/gla-flaubert-persona-3016597.html